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Chez moi...
03:16
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Chez moi…
(Paroles et musique par Carlos DaCosta)
Bienvenue chez moi, prière de garder vos souliers
Je n’ai pas eu le temps de mettre de l’ordre dans mes idées
J’étais si à l’envers que tout semblait rangé
Soyez prudents si vous songez à visiter…
Chez moi… mes sentiments, mes chagrins de demain
Mes faux espoirs et mes regrets du passé… chez moi…
Bienvenue chez moi, prière de passer au salon
Je vous offre un bon café corsé par ma raison
Torréfaction de larmes issues de mille chansons
Avec un goût amer de rêves qui en disent long…
Sur moi, sur mes châtiments, mes chagrins non lointains
Mes illusions et mes regrets du passé… chez moi…
Bienvenue chez moi, prenez tout sur votre chemin
Demain je fais le ménage, je prends ma vie en main
Je ferai la vaisselle pour nettoyer me émotions
Je tondrai la pelouse pour mieux voir l’horizon…
De chez moi, où se trouvent mes rêves, mes passions
Toi mon amour, toi la raison que j’aime… chez moi…
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2. |
Ça ne me dit rien
03:31
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Ça ne me dit rien
(Paroles et musique par Carlos DaCosta)
C’est dur de partir si lentement, si tendrement
J’ai tant besoin de découvrir, j’ai tant de rêves à nourrir en si peu de temps
La vie semble filer si rapidement, comme un coup de vent
Je ne veux pas avoir à me dire : “Tu as renié ces désirs depuis longtemps”
Moi ça ne me dit rien d’essayer de ressembler aux autres
Moi ça ne me dit rien, de faire semblant que tout est rose
C’est dur de décrire ce que je ressens si fréquemment
Je ne suis qu’un enfant qui veut naître et partir à la conquête de ce qui l’attend
Moi ça ne me dit rien d’essayer de ressembler aux autres
Moi ça ne me dit rien, leur âme me parait bien trop pauvre
On aimerait vivre l’amour éternellement et défier le temps
Mais je réalise en ce jour que rien ne dure pour toujours contrairement
À ce qu’ils croient, tout ça me laisse indifférent
Je préfère être moi que de vivre ma vie à faire semblant
D’être content, pour mieux ressembler aux autres
Moi ça ne me dit rien, ça ne me dit rien
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3. |
Pour mieux souffrir
03:24
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Pour mieux souffrir
(Paroles et musique par Carlos DaCosta)
Pour un moment je me suis perdu
Il y a longtemps que je ne me connais plus
T’oublier pour un instant, je m’ennuie déjà
Mon cœur sans toi n’existe plus
Sur un coup de tête il s’est fendu
Tu es devenue mon seul remède, mon seul espoir
Les nuits ne semblent plus finir, mon lit ne cesse de s’agrandir
Chaque soir je me fais petit pour mieux pleurer et mieux souffrir
Si tous les hommes étaient comme je suis
Baissant les bras au moindre défi
Pourrait-on croire en l’amour encore longtemps?
Pardonne-moi toutes ces histoires, tous ces mensonges afin de me croire
Notre amour étant si fort, je m’enfuis déjà
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4. |
Comment ?
04:02
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Comment?
(Paroles et musique par Carlos DaCosta)
Comment te dire ce que je ressens?
Comment décrire ce que je vois sans un geste et sans mouvements?
Comment crier mon désarroi sans mon souffle et sans ma voix?
Comment te dire ce que je ressens?
Vois ce que la vie a fait de moi, la justice, je n’y crois pas
Que le temps aime prendre son temps, que le temps aime prendre le temps
Comment montrer que je t’aime?
Comment prendre ta main dans la mienne sans pouvoir lever un doigt?
Comment puis-je soulager tes peines sans te serrer dans mes bras?
Comment montrer que je t’aime?
Vois ce que la vie a fait de moi, la justice, je n’y crois pas
Je profites du temps en attendant que la vie se lasse de prendre son temps
Toi qui croyais que je me laisserais faire, il n’y a pas plus fort et têtu que moi
J’ai toujours la tête haute et fière, ça ne changera pas
Lorsque mon corps ne sera que de la poussière, ouvre grand les yeux, je serrai toujours là
Je ne suis pas de calibre comme adversaire, il n’y a personne qui mise sur toi
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5. |
Toi
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Toi
(Paroles et musique par Carlos DaCosta)
Toi qui semble belle et fragile
Toi qui paraît si docile
Tu as trahi les mots
Si mes journées sont si belles, c’est que je ne pense plus à toi
Et si mes yeux s’étincellent, c’est que je ne pense plus à toi
Si mes nuits sont si longues, c’est que je m’ennuie de…
Et si l’hiver et plus doux, c’est que je ne pense plus à nous
Et si je crois devenir fou, c’est que je ne pense plus à nous
Si sans espoir je garde la foi, c’est que je m’ennuie de…
Tu as même pris la peine de monter un show
Tu as même pris la peine de jouer le grand rôle
De la femme amoureuse, belle et sensible
Tu as bien joué ton rôle, tu es douée comme actrice
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6. |
Je me sens bien
03:51
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Je me sens bien
(Paroles et musique par Carlos DaCosta)
En ce moment j’ai toute la force d’affronter rien mais je me sens bien
Inquiet de ce que le futur m’apporte, de ce qu’il retient mais je me sens bien
Parfois quand la vie me fait mal, lorsqu’elle hante et se montre instable, ça me fait du bien
D’avoir un point de référence pour quand mes pensées sont moins denses, ça me fait du bien
Tant pis ce que le futur me réserve, je garde aucun plaisir en conserve
Tant mieux si je vois mes vieux jours, gardez l’argent, moi je garde les rêves
Je me sens bien
Dans ces moments d’incertitude, dans ces moments où l’habitude se tiens loin
Ces moments où règne l’inconnu, je savoure chaque minute
Et quand je vois un autre matin, un grand respir et je me sens bien
Pourquoi remettre à demain, les plaisirs qui nous sont certains
Aujourd’hui je chante et je m’exclame, demain qui sait, je ne serai qu’une âme
En ce moment j’ai plus de torts, en ce moment je n’ai plus de remords et je me sens bien
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7. |
La peur d'être aimé
04:15
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La peur d’être aimé
(Paroles et musique par Carlos DaCosta)
Pourquoi faire semblant d’être aimé sans prendre le temps de s’écouter
Que les jours sont longs et sombres
Laisser des larmes de sang s’écouler sous un regard triste au cœur brisé
Par le temps et les souffrances
Écraser chaque amour gisant parterre
Remplis d’histoires et sans frontières
Simplement la peur d’être aimé et de se blesser
Pourquoi laisser au temps le temps de filer, s’ouvrir les yeux sans regarder
Que les bonheurs se font rares
Étaler des mots tendres sur un bout de papier, confier au vent sa destinée
Que l’ennui tarde à répondre
Pourquoi se fier au temps pour effacer tous les instants où l’on a mal aimé
Que les blessures sont profondes
Empêcher les plaies du cœur de se refermer, renier le présent, vivre au passé
Que la vie semble dure et longue
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8. |
A contrecoeur
03:13
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À contrecoeur
(Paroles et musique par Carlos DaCosta)
Je n’ai rien d’autre à faire que de tenir mes deux yeux ouverts
Pour calmer mes pensées qui sont toutes à l’envers
Je n’ai pas la force d’essayer ni le courage de me forcer
À peser le pour et le contre pour me remettre sur terre
J’ai l’impression que je trébuche, les secondes semblent comme des minutes
Fixant des yeux les aiguilles qui tournent en sens contraire
Au moins si j’avais de la bière, je pourrais siphonner un verre
Où boire à faibles gorgées, me donner l’impression de bouger
J’ai tellement souri pour camoufler la douleur
Pris la joie pour acquis sans ressentir le bonheur
Je me suis tellement menti, j’étais mon pire ennemi
Vivant à contrecoeur
Fichez-vous de ma colère, faites comme le vent, faites de l’air
J’en suis le seul responsable, c’est sur moi-même que je m’acharnes
Je chante pour décompresser, pas pour acheter votre pitié
Je suis moins mal pris que j’en ai l’air, j’aime ça me donner de la misère
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9. |
Où tout est plus beau
04:34
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Où tout est plus beau
(Paroles par Carlos DaCosta et Christine Bulhões et musique par Carlos DaCosta)
Les cloches ont sonné avant leur temps
Ne m’ont pas laissé le temps de dire : maman, je t’aime
J’essaye de convaincre mon subconscient
D’être conscient de rien pour un instant, de rêve
Refrain :
Tu es où tout est plus beau, où je te salue
Où tout est plus beau, où j’entends ta voix
Où tout est plus beau, où je te salue
Où tout et nouveau, pour toi et moi
Les fleurs ont fané avant leur temps
Comment puis-je te dire : tu me manques tellement, chère mère
Déboussolée comme un enfant
Qui cherche à crier ses sentiments, de haine
Refrain
Tu es où tout est plus beau, où je te salue
Où tout est plus beau, où j’entends ta voix
Où tout est plus beau, où je te salue
Où tout et nouveau, pour toi et moi
Les feuilles ont tombé avant leur temps
Les arbres dépouillés tremblent de froid, sans sève
Le vent a soufflé si violemment
Plaçant le drapeaux si subitement, en berne
Refrain
Merci pour cette vie, que tu m’as donnée
Merci pour cette force, que tu m’as confiée
Merci pour les joies, merci pour les peines
Merci pour tout
Maman, je t’aime
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10. |
Loin des yeux
02:24
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Loin des yeux
(Paroles et musique par Carlos DaCosta)
Loin des yeux, loin du cœur
J’admets que j’ai la tête ailleurs
Moments qui l’emportent sur le temps
Malgré la pluie, malgré le vent
Quel sentiment de délivrance
Reste à combler quelques souffrances
Qui apparaissent au quotidien
Même si je suis près, même si je suis loin
J’aurais aimé offrir des fleurs
Pour m’épargner d’être un sans cœur
J’assume mes gestes tant bien que mal
Des roses ça me semble trop banal
Dans cette ville aux mille clochers
Au bruit des sabots tant rythmés
Encore cette belle solitude
Et bien je m’y fais par habitude
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DACOSTA Ottawa, Ontario
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